Louis-Gilles Francoeur
Environnementaliste
L’eau et la biodiversité

Le mercredi 15 février 2012, 19 h 30
Salle Jean-Despréz, Maison du Citoyen de Gatineau
25, rue Laurier, Gatineau.

15 $ pour les membres et les étudiants, 15 $ en pré-vente ou 20 $ à la porte.
Stationnement intérieur gratuit (places limitées)


Prix d'excellence
Lyse-Daniels 2015

La Société Gatineau Monde remercie chaleureusement ses généreux partenaires pour leur appui indéfectible.

 

Première chaîne de Radio-Canada 90,7

Ville de Gatineau

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Que vaut une politique de l’eau qui n’inclut pas l’hydro-électricité dans une province qui en tire 98 % de son électricité? Et qui ne tient pas compte des milieux humides, ces zones de recharge des nappes souterraines qui nous servent d’usine d’épuration gratuite, en sus. Non seulement notre politique de l’eau est-elle boiteuse, mais elle n’a même pas d’équivalent pour protéger même faiblement notre biodiversité. Et avec notre tout-à-l’hydro-électricité, sommes-nous en train d’améliorer notre bilan de gaz à effet de serre aux dépens de notre capital en biodiversité?

B i o g r a p h i e
Diplômé en philosophie et en sciences politiques, Louis-Gilles Francoeur a travaillé successivement, comme journaliste, au quotidien Le Droit à compter de 1966, puis à Radio-Canada et à la Fonction publique fédérale. Après un retour aux études, on le retrouve à station de radio CKAC de Montréal, puis au journal Le Devoir en 1973 où il s’occupera d’abord des affaires internationales. Claude Ryan lui confiera ensuite la couverture des relations de travail, où il se distinguera par ses enquêtes sur l’industrie de la construction, avant de devenir responsable de la couverture environnementale au début des années 80, fonction qu’il occupe encore aujourd’hui. Il a été responsable de la chronique environnementale à l’émission Indicatif Présent de Radio-Canada pendant six ans. Il est présentement le doyen des reporters en environnement dans les grands quotidiens du Canada.

Ses reportages, enquêtes et dossiers sur l’environnement lui ont valu de nombreux prix, notamment ceux de l’Association des biologistes du Québec et de l’Association québécoise des techniques de l’eau. En 1988, il reçoit le prix Olivar-Asselin pour l’ensemble de sa carrière et plus particulièrement pour sa contribution au journalisme d’enquête et à l’émergence du débat environnemental au Québec. Il est désigné Personnalité environnementale de l’année en 1997 par la Fondation québécoise en environnement. En l’an 2000, il est nommé au Cercle des Phénix de l’environnement du Québec.

Résultats de l'évaluation de la conférence

 

 


   

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